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dimanche 20 avril 2008
vendredi 18 avril 2008
FAN NUMERO 1
Réconfort après l'arrivée avec MA FAN NUMERO 1, MA ROMANE. Si vous entendez quelqu'un chanter dans les spéciale que "Romain est champion du monde", c'est elle...
Big up Romane !!!
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Big up Romane !!!
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mardi 15 avril 2008
OUVERTURE DU CHAMPIONNAT DE FRANCE A ISSOIRE
LES CONDITIONS CLIMATIQUES qui sévissaient depuis une semaine sur Issoire et sa région ne laissaient rien augurer de bon quant au déroulement de cette première manche du championnat de France 2008. Tout le monde s’attendait à rouler sous une pluie battante mais, à la surprise générale, c’est certes sur un sol gras et sous un SOLEIL QUASI PRINTANIER qu’eut lieu cette ouverture.
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Merci à tous mes supporters, et en particulier aux "SANGLIERS" !!!
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LE PARCOURS DE LIAISON, composé d’une boucle de 80 km à parcourir deux fois et entrecoupé de 3 CH, était dans la grande tradition des courses auvergnates, à savoir TECHNIQUE ET EPROUVANT, que ce soit pour les hommes mais aussi pour les machines. Dès le départ, un gros pierrier donnait le ton, il faudrait être costaud pour garder sa fraîcheur physique jusqu’au dimanche soir mais aussi avoir une bonne technique de Malheureusement, du fait du grand nombre de pilotes inscrits en national E1, de gros bouchons se sont formés dans les singles tracks (sans possibilité de passer ailleurs, le chemin étant bordé de murs) et surtout à l’entrée de la spéciale extrême (environ quinze minutes) lors du premier tour du samedi, ce dont je fis les frais. Ceci aura un gros impact sur les résultats finaux du samedi dans ma catégorie (les nationaux E2 partant après les E1) et faussera la compétition.
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LE PARCOURS DE LIAISON, composé d’une boucle de 80 km à parcourir deux fois et entrecoupé de 3 CH, était dans la grande tradition des courses auvergnates, à savoir TECHNIQUE ET EPROUVANT, que ce soit pour les hommes mais aussi pour les machines. Dès le départ, un gros pierrier donnait le ton, il faudrait être costaud pour garder sa fraîcheur physique jusqu’au dimanche soir mais aussi avoir une bonne technique de Malheureusement, du fait du grand nombre de pilotes inscrits en national E1, de gros bouchons se sont formés dans les singles tracks (sans possibilité de passer ailleurs, le chemin étant bordé de murs) et surtout à l’entrée de la spéciale extrême (environ quinze minutes) lors du premier tour du samedi, ce dont je fis les frais. Ceci aura un gros impact sur les résultats finaux du samedi dans ma catégorie (les nationaux E2 partant après les E1) et faussera la compétition.
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LES SPECIALES: Trois spéciales jalonnaient le circuit, une extrême et deux banderolées.
Le parcours de liaison ayant été modifié, c’est par la spéciale extrême que nous commencions, juste après le CH1. D’environ trois minutes, et bien qu’amputée de quelques difficultés du aux conditions climatiques, elle méritait bien son nom avec de gros dévers, montées et descentes, ainsi qu’une grande marche à franchir. L’inconvénient de genre de SPECIALE EXTREME « HARD » dont le public raffole tant reste toujours le même pour les pilotes : Se retrouver bloqué par la chute des concurrents précédents. Il faut avoir un peu de chance, et sur ce plan j’en ai eu.
Dans le CH3 nous enchaînions les 2 SPECIALES BANDEROLEES, tracées dans de grandes prairies en dévers. Longues d’environ dix et trois minutes, les spécialistes des virages sans ornières TYPIQUES DE L’ENDURO A LA FRANCAISE pouvaient s’en donner à cœur joie et faire la différence. Au cours du week-end le sol s’asséchait, donnant un grip extra.
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LES SPECIALES: Trois spéciales jalonnaient le circuit, une extrême et deux banderolées.
Le parcours de liaison ayant été modifié, c’est par la spéciale extrême que nous commencions, juste après le CH1. D’environ trois minutes, et bien qu’amputée de quelques difficultés du aux conditions climatiques, elle méritait bien son nom avec de gros dévers, montées et descentes, ainsi qu’une grande marche à franchir. L’inconvénient de genre de SPECIALE EXTREME « HARD » dont le public raffole tant reste toujours le même pour les pilotes : Se retrouver bloqué par la chute des concurrents précédents. Il faut avoir un peu de chance, et sur ce plan j’en ai eu.
Dans le CH3 nous enchaînions les 2 SPECIALES BANDEROLEES, tracées dans de grandes prairies en dévers. Longues d’environ dix et trois minutes, les spécialistes des virages sans ornières TYPIQUES DE L’ENDURO A LA FRANCAISE pouvaient s’en donner à cœur joie et faire la différence. Au cours du week-end le sol s’asséchait, donnant un grip extra.
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LA COURSE : En ce SAMEDI matin, je pars le couteau entre les dents car je ne sais pas à quel niveau de difficulté m’attendre. Finalement j’arrive au CH1 avec une marge confortable donc tout se présente sous les meilleurs auspices. Ma moto marche bien et je suis en forme. Malheureusement tout se complique dès l’arrivée à la spéciale extrême. Une cinquantaine de pilotes attendent déjà pour faire ce chrono qui, même s’il ne compte pas au premier tour, permet de reconnaître cette spéciale piégeuse. JE SUIS BLOQUE ENVIRON UN QUART D’HEURE AVANT DE POUVOIR M’ELANCER. Je ne la fais pas trop vite pour bien évaluer toutes les trajectoires possibles et ressors sans chute ni casse de matériel. Dans la liaison qui suit j’accélère le rythme pour rattraper du retard mais une fois de plus, je me retrouve coincé par un bouchon dans une partie technique où de nombreux concurrents sont bloqués et où il est impossible de doubler. Ce qui devait arriver arrive, je prends 12 MINUTES DE PENALITES AU CH2. Comme tous les autres pilotes, je me dis qu’il est évident que le collège des commissaires annulera les pénalités à l’arrivée le soir et donc je continue calmement ma journée.
Dans la SP2 qui est en fait le premier vrai chrono, je roule un peu en dedans et ne sors que le troisième temps de ma catégorie. Alors dès la spéciale suivante j’accélère le rythme et remets les pendules à l’heure en faisant le scratch de ma catégorie.
Dans le deuxième tour, échaudé par les bouchons du matin, je prends un bon rythme de croisière en liaison ce qui me permet d’avoir de la marge aux CH tout en ne puisant pas dans mes ressources. En spéciales je fais un festival en réalisant TOUS LES SCRATCH NATIONAL E2, et qui plus est en étant souvent dans le top 20 du scratch général.
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LA COURSE : En ce SAMEDI matin, je pars le couteau entre les dents car je ne sais pas à quel niveau de difficulté m’attendre. Finalement j’arrive au CH1 avec une marge confortable donc tout se présente sous les meilleurs auspices. Ma moto marche bien et je suis en forme. Malheureusement tout se complique dès l’arrivée à la spéciale extrême. Une cinquantaine de pilotes attendent déjà pour faire ce chrono qui, même s’il ne compte pas au premier tour, permet de reconnaître cette spéciale piégeuse. JE SUIS BLOQUE ENVIRON UN QUART D’HEURE AVANT DE POUVOIR M’ELANCER. Je ne la fais pas trop vite pour bien évaluer toutes les trajectoires possibles et ressors sans chute ni casse de matériel. Dans la liaison qui suit j’accélère le rythme pour rattraper du retard mais une fois de plus, je me retrouve coincé par un bouchon dans une partie technique où de nombreux concurrents sont bloqués et où il est impossible de doubler. Ce qui devait arriver arrive, je prends 12 MINUTES DE PENALITES AU CH2. Comme tous les autres pilotes, je me dis qu’il est évident que le collège des commissaires annulera les pénalités à l’arrivée le soir et donc je continue calmement ma journée.
Dans la SP2 qui est en fait le premier vrai chrono, je roule un peu en dedans et ne sors que le troisième temps de ma catégorie. Alors dès la spéciale suivante j’accélère le rythme et remets les pendules à l’heure en faisant le scratch de ma catégorie.
Dans le deuxième tour, échaudé par les bouchons du matin, je prends un bon rythme de croisière en liaison ce qui me permet d’avoir de la marge aux CH tout en ne puisant pas dans mes ressources. En spéciales je fais un festival en réalisant TOUS LES SCRATCH NATIONAL E2, et qui plus est en étant souvent dans le top 20 du scratch général.
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Au moment de la publication des résultats, c’est un coup de tonnerre qui claque au dessus du paddock, le collège des commissaires décide de ne pas enlever les pénalités ! Malgré les protestations des pilotes auprès de la direction de course pour des faits qui étaient pourtant évidents, celle-ci campera sur sa position injuste. RESULTAT, JE FAIS 4 SCRATCH SUR 5 MAIS FINIS LA JOURNEE 11EME. De gros points s’envolent pour le championnat (20 points), les mieux classés étant ceux qui ont su se faufiler au mieux dans les bouchons...
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DIMANCHE matin, après une nuit blanche à ressasser cette injustice, je décide de partir vite afin de déjouer d’éventuels nouveaux bouchons. Mais heureusement, du fait de l’abandon de nombreux pilotes la veille et de la modification du parcours de liaison qui en plus a séché sous le soleil, aucun problème significatif ne se reproduira, la course régulière reprenant ses droits.
Ayant malgré tout à cœur de revenir au plus tôt au championnat, JE ME CONCENTRE SUR MON PILOTAGE et fais claquer le scratch de ma catégorie dans la spéciale extrême.
Le parcours de liaison étant plus facile, je peux m’économiser et économiser ma machine qui fonctionne toujours comme une montre. Dans les deux chronos suivants, j’améliore mes temps, fais à nouveau le scratch et conforte ainsi mon avance sur la journée. La seule petite alerte viendra au cours de la SP3 dans laquelle mon sabot moteur se desserre, m’obligeant à l’enlever une fois les cellules d’arrivée franchies.
Par la suite, le deuxième et dernier tour ne sera qu’une formalité. JE FAIS A NOUVEAU TOUS LES MEILLEURS TEMPS DE MA CATEGORIE tout en gardant une marge de sécurité. Je rallie Issoire avec le sentiment du travail accompli.
Au moment de la publication des résultats, c’est un coup de tonnerre qui claque au dessus du paddock, le collège des commissaires décide de ne pas enlever les pénalités ! Malgré les protestations des pilotes auprès de la direction de course pour des faits qui étaient pourtant évidents, celle-ci campera sur sa position injuste. RESULTAT, JE FAIS 4 SCRATCH SUR 5 MAIS FINIS LA JOURNEE 11EME. De gros points s’envolent pour le championnat (20 points), les mieux classés étant ceux qui ont su se faufiler au mieux dans les bouchons...
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DIMANCHE matin, après une nuit blanche à ressasser cette injustice, je décide de partir vite afin de déjouer d’éventuels nouveaux bouchons. Mais heureusement, du fait de l’abandon de nombreux pilotes la veille et de la modification du parcours de liaison qui en plus a séché sous le soleil, aucun problème significatif ne se reproduira, la course régulière reprenant ses droits.
Ayant malgré tout à cœur de revenir au plus tôt au championnat, JE ME CONCENTRE SUR MON PILOTAGE et fais claquer le scratch de ma catégorie dans la spéciale extrême.
Le parcours de liaison étant plus facile, je peux m’économiser et économiser ma machine qui fonctionne toujours comme une montre. Dans les deux chronos suivants, j’améliore mes temps, fais à nouveau le scratch et conforte ainsi mon avance sur la journée. La seule petite alerte viendra au cours de la SP3 dans laquelle mon sabot moteur se desserre, m’obligeant à l’enlever une fois les cellules d’arrivée franchies.
Par la suite, le deuxième et dernier tour ne sera qu’une formalité. JE FAIS A NOUVEAU TOUS LES MEILLEURS TEMPS DE MA CATEGORIE tout en gardant une marge de sécurité. Je rallie Issoire avec le sentiment du travail accompli.
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LE BILAN de cette ouverture du championnat de France 2008, bien que finissant TROISIEME DE L’EPREUVE, reste mitigé pour moi.
- Sur le plan sportif, j’ai vu que j’étais COMPETITIF, que ce soit dans les conditions grasses du début de course ou sur le sec, sur l’extrême et les banderolées, et que ma 250 WR HUSQVARNA est incontestablement une moto performante qui me convient à merveille.
- Sur le plan comptable, même si rien n’est perdu, j’ai perdu de gros points le samedi et il va falloir faire preuve de régularité pour revenir au contact et atteindre mon OBJECTIF : GAGNER CE CHAMPIONNAT qui est je pense, si l’équité sportive est respectée, largement à ma portée.
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CLASSEMENT ROVISOIRE:
1 DE SOULTRAIT Xavier 45 pts
2 DA SILVA Eric 32 pts
3 BARBERGER Romain 30 pts
4 AIGOIN Olivier 29 pts
5 VOLDOIRE Yoan 24 pts
6 TOUZAIN Jérémy 19 pts
7 CLADIERE Julien 15 pts
7 LIBOZ Clément 15 pts
9 DUCHENE Romain 14 pts
9 BOUQUET Florian 14 pts
LE BILAN de cette ouverture du championnat de France 2008, bien que finissant TROISIEME DE L’EPREUVE, reste mitigé pour moi.
- Sur le plan sportif, j’ai vu que j’étais COMPETITIF, que ce soit dans les conditions grasses du début de course ou sur le sec, sur l’extrême et les banderolées, et que ma 250 WR HUSQVARNA est incontestablement une moto performante qui me convient à merveille.
- Sur le plan comptable, même si rien n’est perdu, j’ai perdu de gros points le samedi et il va falloir faire preuve de régularité pour revenir au contact et atteindre mon OBJECTIF : GAGNER CE CHAMPIONNAT qui est je pense, si l’équité sportive est respectée, largement à ma portée.
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CLASSEMENT ROVISOIRE:
1 DE SOULTRAIT Xavier 45 pts
2 DA SILVA Eric 32 pts
3 BARBERGER Romain 30 pts
4 AIGOIN Olivier 29 pts
5 VOLDOIRE Yoan 24 pts
6 TOUZAIN Jérémy 19 pts
7 CLADIERE Julien 15 pts
7 LIBOZ Clément 15 pts
9 DUCHENE Romain 14 pts
9 BOUQUET Florian 14 pts
Merci à tous mes supporters, et en particulier aux "SANGLIERS" !!!
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jeudi 10 avril 2008
CHAMPIONNAT DE FRANCE: JOUR J-2
Le compte à rebours est lancé pour le CHAMPIONNAT DE FRANCE 2008 !
La course comportera 3 spéciales dont une extrême. Quant à la liaison, je pense que vu la météo des jours précédents, et connaissant la technicité des chemins en Auvergne, cela sera physique et technique.
On paufine les derniers détails, hier j'ai pu tester et régler les nouvelles pièces internes de fourche que la SIMA m'a ramené de l'usine MARZOCCHI en Italie. C'est plus onctueux et précis sur les petits chocs, donc cela me semble être parfait pour attaquer encore plus !
Tout le matériel est maintenant prêt pour le grand départ demain matin. Direction ISSOIRE... Venez tous m'encourager, et à bientôt pour le compte-rendu et les résultats.
La course comportera 3 spéciales dont une extrême. Quant à la liaison, je pense que vu la météo des jours précédents, et connaissant la technicité des chemins en Auvergne, cela sera physique et technique.
On paufine les derniers détails, hier j'ai pu tester et régler les nouvelles pièces internes de fourche que la SIMA m'a ramené de l'usine MARZOCCHI en Italie. C'est plus onctueux et précis sur les petits chocs, donc cela me semble être parfait pour attaquer encore plus !
Tout le matériel est maintenant prêt pour le grand départ demain matin. Direction ISSOIRE... Venez tous m'encourager, et à bientôt pour le compte-rendu et les résultats.
dimanche 6 avril 2008
STAGE DE PILOTAGE
A l'invitation de HUSQVARNA, je devrais bientôt effectuer un stage de pilotage avec MARC BOURGEOIS près de Clermont Ferrand.
MARC BOURGEOIS est vice-champion du monde junior 2006, 4ème 2007 et pilote officiel Husqvarna CH Racing sur le championnat du monde WEC.
J'espère en tirer bénéfice et surtout faire tomber les chronos par la suite !
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MARC BOURGEOIS est vice-champion du monde junior 2006, 4ème 2007 et pilote officiel Husqvarna CH Racing sur le championnat du monde WEC.
J'espère en tirer bénéfice et surtout faire tomber les chronos par la suite !
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vendredi 4 avril 2008
DOTATION BIHR
Je viens de recevoir ma dotation de BIHR qui pour cette saison 2008 a fait un gros effort. Grace à eux, ma moto sera équipée de guidons RENTHAL Twin Wall, de filtres à air TWIN AIR, de freins BRAKING, de clapets carbone VFORCE, ...
La classe !!!
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La classe !!!
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